Maris… Aimez vos femmes !

Maris… Aimez vos femmes !

Maris… Aimez vos femmes !

Avant d’aborder la question de l’amour que doit porter un mari à sa femme, il nous semble important de rappeler l’importance que le Seigneur attache à la famille. Couple et famille sont étroitement liés. De l’un découle l’autre. Au regard du contexte que le monde traverse, en ces temps derniers où la souche familiale se détériore, où la société rejette le modèle de la famille selon Elohim en tant que fondement de toute patrie mais encourage des « nouvelles » formes familiales, il est important de rappeler brièvement la pensée du Seigneur.

La première famille fondée par le Seigneur était constituée d’un homme et d’une femme : Adam et Chavvah (Eve). Donc, au commencement, Elohim impose la famille comme élément clé de son plan merveilleux. Bereshit (Genèse) 2:18 BYM Et YHWH Elohîm dit : Il n’est pas bon que l’être humain soit seul. Je lui ferai une aide qui soit son vis-à-vis . En mettant la femme auprès de l’homme, Elohim matérialisait ainsi sa vision de la famille afin que celle-ci accomplisse la mission pour laquelle il l’a appelée.

Le Seigneur ne s’est pas arrêté là ! Il a donné ensuite une mission précise au couple, appelé à fonder une famille. Bereshit (Genèse) 1:27-28 BYM Elohîm créa l’être humain à son image, il le créa à l’image d’Elohîm, il les créa mâle et femelle. Elohîm les bénit, et Elohîm leur dit : Portez du fruit, multipliez-vous, remplissez la Terre et assujettissez-la. Dominez sur les poissons de la mer, sur les oiseaux du ciel et sur toute bête qui rampe sur la terre.. Nous ne nous concentrerons pas ici, sur la mission assignée à la famille qui est un sujet très intéressant. 

Après leur avoir indiqué leur mission, Elohim va donner à l’homme et à la femme, le mode opératoire utile et indispensable au bon fonctionnement de leur couple. Il dit Bereshit (Genèse) 2:24 BYM C’est pourquoi l’homme quittera son père et sa mère et se joindra à sa femme, et ils deviendront une seule chair .

Tout est résumé dans ce passage. Nous y trouvons trois verbes d’action qui traduisent un processus clair et défini par le Seigneur. L’objectif à atteindre est de devenir une seule chair. Pour cela, Elohim fixe un point de départ (l’homme doit quitter son père et sa mère), un moyen (l’homme doit se joindre à sa femme) et un but (ils deviendront une seule chair).

Dans cet article, nous nous concentrerons uniquement sur la jointure de l’homme à sa femme. Il est utile de s’interroger sur cela. Comment l’homme et la femme doivent-ils se joindre ? C’est là qu’intervient l’amour selon Elohim. Nous essayerons donc d’en parler à la lumière des Saintes Écritures et par la grâce d’Elohim.

L’homme se joindra à sa femme…

L’une des raisons pour laquelle le taux de divorce s’accroît de nos jours réside dans la mauvaise compréhension de ce qu’est la jointure d’un l’homme à sa femme. 

En hébreu, le mot « joindre » se dit  dabaq. Il se traduit par « coller, suivre étroitement, se joindre, saisir, s’attacher, atteindre, poursuivre, rattraper, rester avec, se livrer, tenir ensemble, s’embrasser ». La jointure dont Elohim parle revêt une dimension à la fois physique et pratique. Je suis émerveillé de voir que ce mot signifie également « rester avec, tenir ensemble ». Ceci confirme la parole du Seigneur Yehoshua dans  Matthaios (Matthieu) 19 BYM qui nous dit Ainsi ils ne sont plus deux, mais une seule chair . Que l’homme donc ne sépare pas ce qu’Elohîm a mis ensemble sous un joug .

Dabaq (ou se joindre) implique également un dévouement quotidien de la part de l’homme. Le fait que ce verbe soit conjugué au futur (se joindra) n’est pas anodin. Il nous montre que la jointure est progressive et continue. De plus, c’est à l’homme qu’Elohim donne cet ordre, ce qui signifie que c’est bien de sa responsabilité de se joindre à sa femme.

Pour que cela se fasse correctement, il est important de savoir qu’il ne peut se baser uniquement sur des sentiments humains et charnels. En effet, imaginez-vous un homme et une femme chrétiens. L’homme venant d’un pays africain, imprégné de la culture locale, de sa façon de voir la vie, de manger, de s’habiller, de considérer le mariage. Et la femme, venant d’un pays européen, imprégnée également de ses mœurs et de sa culture sociale et familiale qui ont façonné son caractère. Très honnêtement et en toute logique, il est difficile pour ces deux personnes de se joindre correctement comme le veut le Seigneur. Les divergences caractérielles, les différences d’opinion seront tôt ou tard sources de conflit.

Voilà pourquoi cet jointure n’est possible que si ces deux personnes ont reçu l’amour et le brisement d’ Elohim. Regardons ce que dit Éphésiens 2:13-16 BYM : Mais maintenant, par Mashiah Yéhoshoua, vous qui étiez autrefois éloignés, vous avez été rapprochés par le sang du Mashiah. Car lui-même est notre paix, lui qui des deux n’en a fait qu’un en détruisant la clôture, le mur de séparation,  ayant aboli dans sa chair l’inimitié, la torah des commandements avec ses ordonnances, afin que des deux il créât en lui-même un seul homme nouveau, en faisant la paix, et qu’il réconciliât les uns et les autres en un seul corps avec Elohîm par le moyen de la croix, ayant détruit par elle l’inimitié.

Si vous lisez souvent ce passage dans son contexte, vous avez certainement remarqué que le Seigneur parle des païens et d’Israël. C’est exact.. La pensée du Seigneur va au-delà également et nous parle aussi de l’époux et de l’épouse, du mariage. Nous comprenons que nous avons été rapprochés en Yehoshua, époux et épouse selon Elohim. Donc, la jointure se fait d’abord par Elohim lui-même qui va attirer l’un vers l’autre. Ensuite, il nous dit qu’il est notre paix car par sa croix, il a anéanti la clôture, le mur de séparation ou tout simplement, la chair.  Que comprendre ? La jointure à sa femme n’est possible que si par Yehoshua, nous sommes morts à nous-mêmes. Par lui, il devient possible de se joindre réellement à sa femme, le mur de séparation culturelle, sociale, familiale, intellectuelle, n’existant plus. Elohim fait de l’homme et de la femme, un seul homme nouveau ou une seule chair (Bereshit 2:13). Il faut une rencontre préalable et surtout une communion continuelle avec le Seigneur Yehoshua dans nos vies. Lui seul nous aidera à faire tomber progressivement ces murs de séparation pour nous amener à réellement nous joindre l’un à l’autre comme Il le souhaite. Pour nous amener à considérer d’abord les intérêts de notre femme et non pas les nôtres (Philippiens 2:4).

Aimez…comme le Mashiah (Christ) a aimé l’Assemblée

[Éphésiens 5:25-33 BYM Et vous maris, aimez vos femmes, comme le Mashiah a aimé l’Assemblée, et s’est livré lui-même pour elle, afin de la sanctifier en la purifiant et en la lavant par le bain d’eau de la parole, pour faire paraître devant lui cette Assemblée glorieuse, sans tache, ni ride, ni rien de semblable, mais sainte et sans défaut. C’est ainsi que les maris doivent aimer leurs femmes comme leurs propres corps. Celui qui aime sa femme s’aime lui-même, car personne n’a jamais haï sa propre chair, mais il la nourrit et la chérit d’un tendre amour, comme le Seigneur le fait pour l’Assemblée, parce que nous sommes membres de son corps, de sa chair et de ses os. C’est pourquoi l’homme quittera son père et sa mère et se joindra à sa femme, et les deux ne seront qu’une seule chair. Ce mystère est grand, or je parle du Mashiah et de l’Assemblée. Que chacun de vous aussi aime sa femme comme lui-même, et que la femme craigne son mari.

En lisant ce passage, le Seigneur nous apprend comment il a traduit son amour pour l’Assemblée (l’Église) : il s’est livré (donné) pour elle. Frères et sœurs, c’est ce que la Parole d,Elohim nous enseigne. L’amour selon Eohim consiste à se livrer (donner) pour les autres. «  Yohanan (Jean) 15:12-13 BYM Voici mon commandement : Que vous vous aimiez les uns les autres, comme je vous ai aimés. Personne n’a de plus grand amour que celui qui donne sa vie pour ses amis.

Comment Yehoshua s’est livré pour nous : lequel étant en forme d’Elohîm, n’a pas regardé son égalité avec Elohîm comme une proie à saisir. Cependant il s’est vidé de lui-même en prenant la forme d’esclave, en devenant semblable aux humains, et, reconnu à son apparence comme un être humain, il s’est abaissé lui-même, en se rendant obéissant jusqu’à la mort, même jusqu’à la mort de la croix. (Philippiens 2:6 à 8). Pour manifester son amour à son Église, Yéhoshoua est mort à la croix pour elle. C’est la plus grande preuve d’amour qui soit : Car Elohîm a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse pas, mais qu’il ait la vie éternelle.  (Yohanan 3:16).

Très concrètement, l’amour qu’un homme porte à sa femme se manifeste dans toute sa puissance par la façon dont il se livre pour elle au quotidien, par la manière dont il donne chaque jour de sa vie pour elle. Nous avons vu plus haut que si nous sommes morts à nous-mêmes par la foi en Yéhoshoua, cela devient possible. Ignorez-vous que nous tous qui avons été baptisés en Mashiah Yéhoshoua, avons été baptisés en sa mort ? (Romains 6:3).

Un mari qui a compris cette vérité, prend soin de sa femme. Il ne s’agit pas ici de la couvrir de cadeaux uniquement (quoique ce soit une très bonne chose). Le don de soi c’est d’abord s’occuper de sa femme. C’est ainsi que les maris doivent aimer leurs femmes comme leurs propres corps. Celui qui aime sa femme s’aime lui-même, car personne n’a jamais haï sa propre chair, mais il la nourrit et la chérit d’un tendre amour, comme le Seigneur le fait pour l’Assemblée, (Ephésiens 5:28 à 29). 

Par exemple, il est courant de voir dans certains foyers, des femmes qui s’occupent systématiquement des tâches ménagères et des enfants. Dans un couple où un mari aime sa femme et se donne pour elle, il y a une répartition naturelle des rôles pour ce qui concerne les choses de leur maison. Si ma femme fait la machine à laver, alors je peux préparer les enfants sans qu’elle ne me le demande. Car ma motivation, c’est de me donner pour elle. Si ma femme est en train de faire à manger le soir quand j’arrive du travail, je peux prendre un couteau et couper un oignon avec elle en lui racontant ma journée. Ma disposition de cœur ne doit pas être de me demander pourquoi le repas n’est pas prêt mais de me dire, il faut que je l’aide. La vie à deux devient simple car par la force que le Seigneur nous donne, une vraie complémentarité naît dans le couple. Le don de soi se manifeste donc dans des choses très concrètes. Et c’est ainsi que nous porterons du fruit de l’Esprit dans notre couple.

Le don de soi, c’est aussi accepter la contradiction de son épouse, qui est très souvent source de conflits. Dans un couple, il n’est pas impossible d’avoir des différences d’opinions face à une situation ou à un choix. Bien au contraire. Le rôle de l’homme est celui d’écoute. Le fait d’écouter sa femme nous dire exactement le contraire de ce pour quoi nous sommes convaincus relève de la mort à soi. La disposition qu’on aura à écouter favorisera un climat de dialogue et une soumission naturelle.

Beaucoup d’hommes ne supportent pas d’être contredits par leurs femmes, surtout lorsqu’il y a du monde autour d’eux. Ils ne tolèrent pas un écart de comportement de leurs femmes et n’hésitent pas à les reprendre en public. Déjà, c’est irrespectueux vis-à-vis de celles-ci et des personnes alentour. De plus, ce n’est pas preuve de maturité ni de douceur.  Et si ton frère a péché contre toi, va et reprends-le entre toi et lui seul. S’il t’écoute, tu as gagné ton frère. (Matthaios 18:15).

Et pourquoi ne pas supporter l’injustice, la contradiction…C’est donc déjà une défaite complète pour vous que d’avoir en effet des jugements les uns contre les autres. Pourquoi ne souffrez-vous pas plutôt une injustice ? Pourquoi ne vous laissez-vous pas plutôt dépouiller ? (1 Corinthiens 6:7)

Cette question est cruciale. Tout mari qui se retrouve dans le panorama ci-dessus doit se la poser. Nous devons apprendre à nous laisser dépouiller, ce n’est pas un signe de faiblesse mais un moyen d’instaurer un dialogue apaisé au sein du couple. Nos femmes peuvent commettre des erreurs. A la maison, dans le secret, nous pouvons en reparler tout en douceur sans pour autant les exposer. 

 L’autorité du mari…

Ce que nous venons de voir, cette disposition de cœur que doit avoir le mari n’a rien à voir avec l’autorité. Beaucoup d’hommes pensent à tort que l’autorité qu’un mari exerce vis-à-vis de sa femme doit se manifester par le fait d’un ton menaçant, de reprendre fermement, d’imposer son point de vue et sa vision. C’est faux !

C’est une compréhension erronée et mondaine de l’autorité. En hébreu, ce mot se dit « yad » ou « yod ». Ce qui se traduit tout simplement par la main. Or, la main nous parle certes de la puissance. Mais surtout de la puissance du potier qui façonne, qui bâtit, qui console, qui répare ce qui est brisé, qui construit. En grec, l’autorité se dit “exousia” (signe d’autorité, puissance) qui vient de “eimi”et se traduit aussi par « se devoir à ».

C’est pourquoi j’écris ces choses étant absent, afin qu’étant présent je n’agisse pas sévèrement, selon l’autorité que le Seigneur m’a donnée pour la construction et non pour la destruction. (2 Corinthiens 13:10).

Paulos (Paul) nous apprend que l’autorité reçu d’Elohim sert à l’édification. Cette main sert à bâtir et non à détruire. Le potier n’a-t-il pas autorité sur l’argile, pour faire en effet de la même masse un vase pour l’honneur et un autre pour le déshonneur ? (Romains 9:21). ELohim a confié à l’homme cette main. Eh bien, s’il ne l’utilise pas à bon escient, selon le modèle du Seigneur, au lieu de façonner, d’édifier, il risquera de s’en servir pour frapper, gifler , blesser. Paulos nous sensibilise sur le fait que le mauvais usage de cette autorité peut être occasion de chute pour les faibles. Mais prenez garde que cette liberté [exousia] que vous avez ne soit en quelque sorte un scandale pour les faibles. (1 Corinthiens 8:9). 

Or, ne l’oublions pas, la Parole d’ELohim nous demande de considérer nos femmes comme un sexe faible. Vous de même, maris, montrez de la compréhension dans vos relations avec vos femmes, comme avec un vase plus fragile, c’est-à-dire féminin ; les traitant avec honneur comme étant aussi ensemble héritiers de la grâce de la vie, afin que vos prières ne soient pas interrompues. (1 Petros 3:7).

Mais de quelle sagesse est-il question ? Tout d’abord, l’apôtre Yaakov (Jacques) nous apprend que la colère n’accomplit pas la justice d’Elohim. Ainsi, mes frères bien-aimés, que tout être humain soit prompt à écouter, lent à parler et lent à la colère, 20 car la colère de l’homme n’accomplit pas la justice d’Elohîm. (Yaakov 1:19 à 20).

Mais concernant la sagesse, voici ce que le Seigneur nous dit : Mais si vous avez dans votre cœur un zèle amère et un esprit de parti, ne vous glorifiez pas et ne mentez pas contre la vérité. Car ce n’est pas là la sagesse qui descend d’en haut : mais elle est terrestre, animale et diabolique. Car là où il y a de la jalousie et un esprit de parti, il y a du désordre et toutes sortes de mauvaises choses. Mais la sagesse d’en haut est premièrement pure en effet, ensuite pacifique, douce, conciliante, pleine de miséricorde et de bons fruits, sans partialité et sans hypocrisie. Mais le fruit de la justice se sème dans la paix pour ceux qui pratiquent la paix. (Yaakov 3:14 à 18).

Dans la façon dont nous nous donnons pour notre femme, dans nos rapports avec elle, nous devons user de pureté, de pacifisme, être modéré, miséricordieux et discret. Voilà la sagesse qu’ELohim nous demande !

Le mauvais usage de notre autorité de mari peut pousser nos femmes à pécher. Cela se manifeste au travers de la rébellion qui peut naître en elles, des murmures et voire du divorce. Maris, nous devons veiller et user de douceur et de sagesse !

L’homme le chef de la femme, oui mais… quel chef ?

D’aucun disent habituellement que l’homme est le chef de la femme. C’est exact, mais il ne s’agit pas d’un chef comme celui de votre service au travail ou de votre patron. Loin de là. En grec, le mot chef se dit kephale  et se traduit par la tête. La mauvaise interprétation de cette position de l’homme dans le couple a induit beaucoup d’enfants d’ELohim dans l’erreur.

Qu’est-ce que les Écritures nous enseignent à ce sujet. Notre chef à nous maris, c’est Yéhoshoua. Pourtant, la vie et l’enseignement de notre Seigneur nous en disent long sur l’attitude que doit avoir un chef. Mais Yéhoshoua les appela et leur dit : Vous savez que ceux qui pensent être les chefs des nations dominent sur elles en maîtres et que les grands exercent leur autorité sur elles. Il n’en sera pas de même parmi vous. Mais quiconque veut devenir grand parmi vous, qu’il soit votre serviteur, et quiconque veut devenir le premier parmi vous, qu’il soit l’esclave de tous. Car le Fils de l’homme est venu, non pour être servi, mais pour servir et donner sa vie en rançon pour beaucoup. (Markos 10:42 à 45). 

En résumé, un chef est là pour servir et non pour être servi. Voilà ce qu’est un chef selon Elohim. Il sert et il est l’esclave de tous. En cela, il est le premier (la tête) selon le cœur du Seigneur. Mais quiconque veut devenir grand parmi vous, qu’il soit votre serviteur, et quiconque veut devenir le premier parmi vous, qu’il soit l’esclave de tous (Markos 10:44). Un mari sert sa famille. Femme et enfants. Il s’occupe d’eux avec grand soin car c’est à lui qu’elle a été confiée et c’est à lui que le Seigneur demandera des comptes. Il s’occupe de sa femme comme de sa propre personne.

Gardez l’équilibre…

Bien entendu, il faut garder un équilibre en toute chose. Le service du mari, son don de soi ne signifie pas domination de sa femme. Mais c’est le contraire qui devrait se produire. Un mari dévoué pour son épouse fait d’elle une femme naturellement soumise, si elle craint Elohim.

La prise des décisions se fait bien entendu ensemble. Et s’il y a un blocage, alors on va devant le Seigneur et parce que l’homme est la tête, il lui revient de décider. Mais cela ne peut être possible et accepté par nos épouses qu’à la condition que nous soyons des maris au service. Des maris près à pardonner lorsque nos femmes nous ont offensés. Prêts à faire le premier pas, c’est ça le don de soi, la mort à soi. Un mari qui dialogue et use de la sagesse d’Elohim dans ses rapports avec sa femme qui est sa confidente, sa côte et qui fait son bonheur, est un mari selon Elohim. 

Mais si quelqu’un d’entre vous manque de sagesse, qu’il la demande à Elohîm qui la donne à tous simplement et sans reproche, et elle lui sera donnée. (Yaakov 1:5).

Gloire à toi Seigneur Yéhoshoua !

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